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Elenco in ordine alfabetico delle domande di Lingua francese

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Pamela Martinez, ivre morte à l'heure du crime, ne se souvenait même pas d'être entrée dans le garage de ce pavillon du comté d'Orange, près de Los Angeles. Il lui a fallu aussi, de longues minutes pour ce rendre compte qu'un juge venait de la condamner à la prison à perpétuité, assortie d'une peine de sûreté de vint-cinq ans, pour le vol d'une boîte à outils ! Son cas est presque banal. Depuis la promulgation, en 1994, de la loi dite des « three strikes » (trois coups), plus de 7 000 condamnés purgent une peine de prison à vie pour avoir été seulement reconnus coupables d'un troisième crime ou délit. La moitié de ces récidivistes n'ont jamais commis la moindre violence et 10% d'entre eux sont emmurés vivants pour des broutilles. Comme ce clochard arrêté après avoir fracturé la porte de la cuisine d'un presbytère ; cet ivrogne, voleur d'une part de pizza ; ce toxicomane, Daniel Ponce, frappé d'une peine de sûreté pour avoir dérobé un appareil photo jetable ; ou Ricky Fontenot, passager, en 1994, d'une voiture contenant une arme prohibée et dont les méfaits antérieurs se limitaient à un vol et une bagarre en 1979. Pamela a recouvré la liberté au bout de sept ans, grâce aux efforts d'un juge en fin de carrière, indifférent aux pressions de l'opinion. Aucun homme politique, en revanche, n'a cru bon de s'opposer à une loi née directement de la volonté populaire : en 1993, les parents de Polly Klass, une fillette assassinée par un délinquant multirécidiviste, avaient fait circuler une pétition exigeant la perpétuité pour les coupables d'un troisième crime. En quelques semaines, ils avaient recueilli assez de signatures pour justifier un référendum, voté à une écrasante majorité. Aujourd'hui, les juridictions de 15 Etats, y compris les tribunaux fédéraux, appliquent leur version de la loi « des trois coups » contre les crimes violents ou liés au trafic de drogue. Seule la Californie rechigne à en limiter le champ. Joe Klass, grand-père de Polly, a rappelé lui-même, récemment, que cette loi ne visait pas les petits délinquants. Personne, cette fois, ne l'a écouté. Qui l'application de cette peine touche-t-elle ?   Près de sept mille personnes.
Pamela Martinez, ivre morte à l'heure du crime, ne se souvenait même pas d'être entrée dans le garage de ce pavillon du comté d'Orange, près de Los Angeles. Il lui a fallu aussi, de longues minutes pour ce rendre compte qu'un juge venait de la condamner à la prison à perpétuité, assortie d'une peine de sûreté de vint-cinq ans, pour le vol d'une boîte à outils ! Son cas est presque banal. Depuis la promulgation, en 1994, de la loi dite des « three strikes » (trois coups), plus de 7 000 condamnés purgent une peine de prison à vie pour avoir été seulement reconnus coupables d'un troisième crime ou délit. La moitié de ces récidivistes n'ont jamais commis la moindre violence et 10% d'entre eux sont emmurés vivants pour des broutilles. Comme ce clochard arrêté après avoir fracturé la porte de la cuisine d'un presbytère ; cet ivrogne, voleur d'une part de pizza ; ce toxicomane, Daniel Ponce, frappé d'une peine de sûreté pour avoir dérobé un appareil photo jetable ; ou Ricky Fontenot, passager, en 1994, d'une voiture contenant une arme prohibée et dont les méfaits antérieurs se limitaient à un vol et une bagarre en 1979. Pamela a recouvré la liberté au bout de sept ans, grâce aux efforts d'un juge en fin de carrière, indifférent aux pressions de l'opinion. Aucun homme politique, en revanche, n'a cru bon de s'opposer à une loi née directement de la volonté populaire : en 1993, les parents de Polly Klass, une fillette assassinée par un délinquant multirécidiviste, avaient fait circuler une pétition exigeant la perpétuité pour les coupables d'un troisième crime. En quelques semaines, ils avaient recueilli assez de signatures pour justifier un référendum, voté à une écrasante majorité. Aujourd'hui, les juridictions de 15 Etats, y compris les tribunaux fédéraux, appliquent leur version de la loi « des trois coups » contre les crimes violents ou liés au trafic de drogue. Seule la Californie rechigne à en limiter le champ. Joe Klass, grand-père de Polly, a rappelé lui-même, récemment, que cette loi ne visait pas les petits délinquants. Personne, cette fois, ne l'a écouté. Qu'est-ce qui s'est passé pour Pamela Martinez ?   Elle a été libérée après 7 ans de prison.
Pamela Martinez, ivre morte à l'heure du crime, ne se souvenait même pas d'être entrée dans le garage de ce pavillon du comté d'Orange, près de Los Angeles. Il lui a fallu aussi, de longues minutes pour ce rendre compte qu'un juge venait de la condamner à la prison à perpétuité, assortie d'une peine de sûreté de vint-cinq ans, pour le vol d'une boîte à outils ! Son cas est presque banal. Depuis la promulgation, en 1994, de la loi dite des « three strikes » (trois coups), plus de 7 000 condamnés purgent une peine de prison à vie pour avoir été seulement reconnus coupables d'un troisième crime ou délit. La moitié de ces récidivistes n'ont jamais commis la moindre violence et 10% d'entre eux sont emmurés vivants pour des broutilles. Comme ce clochard arrêté après avoir fracturé la porte de la cuisine d'un presbytère ; cet ivrogne, voleur d'une part de pizza ; ce toxicomane, Daniel Ponce, frappé d'une peine de sûreté pour avoir dérobé un appareil photo jetable ; ou Ricky Fontenot, passager, en 1994, d'une voiture contenant une arme prohibée et dont les méfaits antérieurs se limitaient à un vol et une bagarre en 1979. Pamela a recouvré la liberté au bout de sept ans, grâce aux efforts d'un juge en fin de carrière, indifférent aux pressions de l'opinion. Aucun homme politique, en revanche, n'a cru bon de s'opposer à une loi née directement de la volonté populaire : en 1993, les parents de Polly Klass, une fillette assassinée par un délinquant multirécidiviste, avaient fait circuler une pétition exigeant la perpétuité pour les coupables d'un troisième crime. En quelques semaines, ils avaient recueilli assez de signatures pour justifier un référendum, voté à une écrasante majorité. Aujourd'hui, les juridictions de 15 Etats, y compris les tribunaux fédéraux, appliquent leur version de la loi « des trois coups » contre les crimes violents ou liés au trafic de drogue. Seule la Californie rechigne à en limiter le champ. Joe Klass, grand-père de Polly, a rappelé lui-même, récemment, que cette loi ne visait pas les petits délinquants. Personne, cette fois, ne l'a écouté. Que signifie la loi des « trois coups » ?   Que l'auteur de délits est puni par la perpétuité au troisième.
Pamela Martinez, ivre morte à l'heure du crime, ne se souvenait même pas d'être entrée dans le garage de ce pavillon du comté d'Orange, près de Los Angeles. Il lui a fallu aussi, de longues minutes pour ce rendre compte qu'un juge venait de la condamner à la prison à perpétuité, assortie d'une peine de sûreté de vint-cinq ans, pour le vol d'une boîte à outils ! Son cas est presque banal. Depuis la promulgation, en 1994, de la loi dite des « three strikes » (trois coups), plus de 7 000 condamnés purgent une peine de prison à vie pour avoir été seulement reconnus coupables d'un troisième crime ou délit. La moitié de ces récidivistes n'ont jamais commis la moindre violence et 10% d'entre eux sont emmurés vivants pour des broutilles. Comme ce clochard arrêté après avoir fracturé la porte de la cuisine d'un presbytère ; cet ivrogne, voleur d'une part de pizza ; ce toxicomane, Daniel Ponce, frappé d'une peine de sûreté pour avoir dérobé un appareil photo jetable ; ou Ricky Fontenot, passager, en 1994, d'une voiture contenant une arme prohibée et dont les méfaits antérieurs se limitaient à un vol et une bagarre en 1979. Pamela a recouvré la liberté au bout de sept ans, grâce aux efforts d'un juge en fin de carrière, indifférent aux pressions de l'opinion. Aucun homme politique, en revanche, n'a cru bon de s'opposer à une loi née directement de la volonté populaire : en 1993, les parents de Polly Klass, une fillette assassinée par un délinquant multirécidiviste, avaient fait circuler une pétition exigeant la perpétuité pour les coupables d'un troisième crime. En quelques semaines, ils avaient recueilli assez de signatures pour justifier un référendum, voté à une écrasante majorité. Aujourd'hui, les juridictions de 15 Etats, y compris les tribunaux fédéraux, appliquent leur version de la loi « des trois coups » contre les crimes violents ou liés au trafic de drogue. Seule la Californie rechigne à en limiter le champ. Joe Klass, grand-père de Polly, a rappelé lui-même, récemment, que cette loi ne visait pas les petits délinquants. Personne, cette fois, ne l'a écouté. Qui a été le promoteur de cette loi ?   Les parents d'une petite fille assassinée.
Pamela Martinez, ivre morte à l'heure du crime, ne se souvenait même pas d'être entrée dans le garage de ce pavillon du comté d'Orange, près de Los Angeles. Il lui a fallu aussi, de longues minutes pour ce rendre compte qu'un juge venait de la condamner à la prison à perpétuité, assortie d'une peine de sûreté de vint-cinq ans, pour le vol d'une boîte à outils ! Son cas est presque banal. Depuis la promulgation, en 1994, de la loi dite des « three strikes » (trois coups), plus de 7 000 condamnés purgent une peine de prison à vie pour avoir été seulement reconnus coupables d'un troisième crime ou délit. La moitié de ces récidivistes n'ont jamais commis la moindre violence et 10% d'entre eux sont emmurés vivants pour des broutilles. Comme ce clochard arrêté après avoir fracturé la porte de la cuisine d'un presbytère ; cet ivrogne, voleur d'une part de pizza ; ce toxicomane, Daniel Ponce, frappé d'une peine de sûreté pour avoir dérobé un appareil photo jetable ; ou Ricky Fontenot, passager, en 1994, d'une voiture contenant une arme prohibée et dont les méfaits antérieurs se limitaient à un vol et une bagarre en 1979. Pamela a recouvré la liberté au bout de sept ans, grâce aux efforts d'un juge en fin de carrière, indifférent aux pressions de l'opinion. Aucun homme politique, en revanche, n'a cru bon de s'opposer à une loi née directement de la volonté populaire : en 1993, les parents de Polly Klass, une fillette assassinée par un délinquant multirécidiviste, avaient fait circuler une pétition exigeant la perpétuité pour les coupables d'un troisième crime. En quelques semaines, ils avaient recueilli assez de signatures pour justifier un référendum, voté à une écrasante majorité. Aujourd'hui, les juridictions de 15 Etats, y compris les tribunaux fédéraux, appliquent leur version de la loi « des trois coups » contre les crimes violents ou liés au trafic de drogue. Seule la Californie rechigne à en limiter le champ. Joe Klass, grand-père de Polly, a rappelé lui-même, récemment, que cette loi ne visait pas les petits délinquants. Personne, cette fois, ne l'a écouté. Dans son ensemble, que pense le peuple américain de cette loi ?   Il approuve cette loi.
Par suite d'encombrements, nous ne pouvons donner suite à votre appel.Cet énoncé signifie que ?. .   les lignes sont occupées
Participe présent du verbe pâlir:   Pâlissant
Passez du discours direct au discours indirect: Je reçois beaucoup de visites. Il a dit qu'il .... beaucoup de visites.   Recevait
Paule est repartie .... elle. Un jour, j'irai lui rendre visite car son pays est vraiment beau!   Chez
Pendant l'été, j'aime dormir à la belle étoile.   D'estate mi piace dormire all'aperto.
Pendant la semaine, il .... froid et il y .... du brouillard!   Fera / aura
Permettez-moi de vous dire à quel point je suis déçu !Cet énoncé exprime ?. .   un mécontentement
Philippe achète .... vêtements .... sa femme!   Autant de / que
Plus-que-parfait de battre:   Nous avions battu
Pouvoir au Subjonctif présent   Que je puisse