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Elenco in ordine alfabetico delle domande di Lingua francese

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Il (faire) très froid si bien que le lac (être) gelé.   a fait / était
Il (falloir) qu'on (se mettre) rapidement au travail.   faudrait / se mette
Il a .......... dans de nombreuses villes.   vécu
Il a dit qu'il .... de l'aéroport.   Téléphonerait
Il a eu l'adresse nécessaire .... réussir un sans faute.   de
Il a fait un cadeau à .... de ses petits-enfants   Chacun
Il accepterait [sans doute] si vous insistiez. L'expression soulignée signifie ?.   probablement
Il affirme : «Ils ont fait un bon travail».Choisissez la transformation de cette phrase.   Il affirme qu'ils ont fait un bon travail.
Il allait dynamiser le département, offrir des chances de promotion; c'était .... ils comptaient.   Ce sur quoi
Il arrivera en avion, ...... il y ait une grève.   à moins qu'
Il conduisait sans permis .... a eu une amende de 500F.   De sorte qu'il
Il donnait beaucoup aux pauvres ......... il était riche.   quand
Il est .... content de lui.   Très
Il est doux .... un agneau!   Comme
Il est hors de question que j'accepte cette proposition!Quelle est la signification de cette phrase?   Je ne peux pas accepter cette proposition.
Il est important que nous .... les cinquante ans de l'entreprise.   Fêtions
Il est malade comme un chien.   Sta male da morire.
Il fait la sourde oreille.   Fa orecchie da mercante.
Il faudra qu'elle choisisse un métier.   Dovrà scegliere un mestiere.
Il faut bien que l'on s'occupe l'un de l'autre vu que vous n'êtes pas là.   Dobbiamo pure prenderci cura l'uno dell'altro dato che non ci siete.
Il faut que je .... pour un long voyage.   Parte
Il m'a dit que j'avais mauvaise mine.   Mi ha detto che avevo una brutta cera.
Il m'a parlé ....   Poliment
Il marchait toujours à pas lents comme s'il ....   Etait fatigué
Il part .... elle !   Sans
Il partira .... un instant!   Dans
Il se lève toujours avant qu'il .... jour!   Fasse
Il se peut que vous ayez encore affaire à moi dans quelques jours.Cet énoncé signifie que ?. .   les deux interlocuteurs se reverront sans doute
Il s'est tiré d'affaire brillamment.   Se l'è cavata molto bene.
Il sort de bonne heure .... matin!   Ce
Il tombait de gros flocons de neige. Il s'agit d'un verbe:   Impersonnel
Il venait de rentrer chez lui lorsque la police est venue l'arrêter.   Era appena tornato a casa quando la polizia è arrivata ad arrestarlo.
Il vient .... pour le Maroc.   de partir
Il y a encore FORT à faire pour améliorer la politique sociale. Quel est le sens du mot en lettres capitales?   beaucoup
Il y a quatre ans, il était sans-abri. Aujourd'hui, il est à la tête d'une entreprise employant 39 personnes et espère s'implanter aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne, en Afrique et même en Asie. Pour ce chômeur (1) ...... qui n'a pas voulu révéler son identité, l'aventure a débuté le 19 novembre 1991. A la rue à l'âge de 31 ans, il devient ouvrier-plombier alors qu'il ne connaissait rien à la (2) ...... . Après une réparation à domicile, un vieil homme, chimiste à ses heures, lui propose de se laver les mains avec un produit de sa (3) ...... . Le produit est tellement efficace que l'ancien SDF décide de le commercialiser début 1993. Les (4) ...... spécialisées n'hésitent pas à parler de « révolution dans le monde du détergent » [...]. Aujourd'hui, l'entreprise compte parmi ses clients la première compagnie belge d'aviation, de grandes firmes automobiles et de (5) ...... . Quel mot, choisi parmi les suivants, complète parfaitement la phrase (2) ?   plomberie
Il y a quatre ans, il était sans-abri. Aujourd'hui, il est à la tête d'une entreprise employant 39 personnes et espère s'implanter aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne, en Afrique et même en Asie. Pour ce chômeur (1) ...... qui n'a pas voulu révéler son identité, l'aventure a débuté le 19 novembre 1991. A la rue à l'âge de 31 ans, il devient ouvrier-plombier alors qu'il ne connaissait rien à la (2) ...... . Après une réparation à domicile, un vieil homme, chimiste à ses heures, lui propose de se laver les mains avec un produit de sa (3) ...... . Le produit est tellement efficace que l'ancien SDF décide de le commercialiser début 1993. Les (4) ...... spécialisées n'hésitent pas à parler de « révolution dans le monde du détergent » [...]. Aujourd'hui, l'entreprise compte parmi ses clients la première compagnie belge d'aviation, de grandes firmes automobiles et de (5) ...... . Quel mot, choisi parmi les suivants, complète parfaitement la phrase (3) ?   composition
Il y a quatre ans, il était sans-abri. Aujourd'hui, il est à la tête d'une entreprise employant 39 personnes et espère s'implanter aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne, en Afrique et même en Asie. Pour ce chômeur (1) ...... qui n'a pas voulu révéler son identité, l'aventure a débuté le 19 novembre 1991. A la rue à l'âge de 31 ans, il devient ouvrier-plombier alors qu'il ne connaissait rien à la (2) ...... . Après une réparation à domicile, un vieil homme, chimiste à ses heures, lui propose de se laver les mains avec un produit de sa (3) ...... . Le produit est tellement efficace que l'ancien SDF décide de le commercialiser début 1993. Les (4) ...... spécialisées n'hésitent pas à parler de « révolution dans le monde du détergent » [...]. Aujourd'hui, l'entreprise compte parmi ses clients la première compagnie belge d'aviation, de grandes firmes automobiles et de (5) ...... . Quel mot, choisi parmi les suivants, complète parfaitement la phrase (5) ?   nettoyage
Il y a quatre ans, il était sans-abri. Aujourd'hui, il est à la tête d'une entreprise employant 39 personnes et espère s'implanter aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne, en Afrique et même en Asie. Pour ce chômeur (1) ...... qui n'a pas voulu révéler son identité, l'aventure a débuté le 19 novembre 1991. A la rue à l'âge de 31 ans, il devient ouvrier-plombier alors qu'il ne connaissait rien à la (2) ...... . Après une réparation à domicile, un vieil homme, chimiste à ses heures, lui propose de se laver les mains avec un produit de sa (3) ...... . Le produit est tellement efficace que l'ancien SDF décide de le commercialiser début 1993. Les (4) ...... spécialisées n'hésitent pas à parler de « révolution dans le monde du détergent » [...]. Aujourd'hui, l'entreprise compte parmi ses clients la première compagnie belge d'aviation, de grandes firmes automobiles et de (5) ...... . Quel mot, choisi parmi les suivants, complète parfaitement la phrase (1) ?   chanceux
Il y a quatre ans, il était sans-abri. Aujourd'hui, il est à la tête d'une entreprise employant 39 personnes et espère s'implanter aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne, en Afrique et même en Asie. Pour ce chômeur (1) ...... qui n'a pas voulu révéler son identité, l'aventure a débuté le 19 novembre 1991. A la rue à l'âge de 31 ans, il devient ouvrier-plombier alors qu'il ne connaissait rien à la (2) ...... . Après une réparation à domicile, un vieil homme, chimiste à ses heures, lui propose de se laver les mains avec un produit de sa (3) ...... . Le produit est tellement efficace que l'ancien SDF décide de le commercialiser début 1993. Les (4) ...... spécialisées n'hésitent pas à parler de « révolution dans le monde du détergent » [...]. Aujourd'hui, l'entreprise compte parmi ses clients la première compagnie belge d'aviation, de grandes firmes automobiles et de (5) ...... . Quel mot, choisi parmi les suivants, complète parfaitement la phrase (4) ?   revues
Ils ......... le 2 juillet en avion et ils ......... huit jours plus tard.   partirent / rentrèrent
Ils ont acheté une voiture .... aller voir leurs parents le dimanche.   pour
Ils ont précisé : «Il ne faut pas boire cette eau».Choisissez la transformation de cette phrase.   Ils ont précisé qu'il ne fallait pas boire cette eau.
Ils se détestent ?. ils refusent de travailler dans le même bureau.Sélectionnez l'expression qui ne convient pas pour compléter la phrase.   tel qu'
Ils sont des milliers, en France, à ignorer qui les a mis au monde. Nés sous X, comme le permet la loi, ils exigent de connaître l'identité de leur mère. Lever le secret serait-il un bien ou un mal? Le débat reste ouvert. Favorable à une relative levée du secret, la ministre déléguée à la Famille, Ségolène Royal, s'est récemment saisie du dossier. La garde des Sceaux, Elisabeth Guigou, tranchera la question, lors de la réforme du droit de la famille. Ségolène Royal cherche une solution qui permette, dit-elle, de «garder le droit à la discrétion tout en rendant réversible le choix du secret». Alors que le nombre d'accouchements sous X ne cesse de diminuer (de 778 en 1991 à 615 en 1997) le débat n'a jamais été aussi passionnel. Symbolique, il oppose le droit des mères à garder l'anonymat au droit des enfants à connaître leurs origines et relance la discussion sur la parentalité. Qui sont les vrais parents: les géniteurs ou ceux qui élèvent les enfants? «Aujourd'hui, nous biologisons la parenté à l'extrême, observe Suzanne Lallemand, anthropologue et chercheur au CNRS. Il est presque devenu honteux que d'autres, tels les parents adoptifs, élèvent le fruit de la procréation.» A une époque où on a du mal à trouver sa place, jamais on n'a eu autant besoin de se raccrocher à ses racines. Tandis que les clubs de généalogie amateurs se multiplient, les générations X n'ont personne à fixer sur les branches parentales. En effet, même si la France a ratifié l'article 7 de la Convention internationale des droits de l'enfant, qui prévoit que «tout enfant a, dans la mesure du possible, le droit de connaître ses parents», elle reste l'un des derniers pays à maintenir l'accouchement sous X, avec le Luxembourg, l'Italie et, dans une certaine mesure, l'Espagne (pour les femmes non mariées). La technique de fabrication du secret est bien rodée: l'anonymat est établi dès la prise en charge à l'hôpital, où la femme ne donne pas son identité. On déclare ensuite la naissance à l'état civil de mère et père inconnus. «Il est grand temps de lever l'anonymat! martèle Pierre Verdier, président de la Cadco. On connaît désormais les ravages affectifs que causent les secrets de famille sur plusieurs générations.». Comment les anthropologues jugent-ils l'accouchement sous X ?   Un grave dommage fait aux enfants.
Ils sont des milliers, en France, à ignorer qui les a mis au monde. Nés sous X, comme le permet la loi, ils exigent de connaître l'identité de leur mère. Lever le secret serait-il un bien ou un mal? Le débat reste ouvert. Favorable à une relative levée du secret, la ministre déléguée à la Famille, Ségolène Royal, s'est récemment saisie du dossier. La garde des Sceaux, Elisabeth Guigou, tranchera la question, lors de la réforme du droit de la famille. Ségolène Royal cherche une solution qui permette, dit-elle, de «garder le droit à la discrétion tout en rendant réversible le choix du secret». Alors que le nombre d'accouchements sous X ne cesse de diminuer (de 778 en 1991 à 615 en 1997) le débat n'a jamais été aussi passionnel. Symbolique, il oppose le droit des mères à garder l'anonymat au droit des enfants à connaître leurs origines et relance la discussion sur la parentalité. Qui sont les vrais parents: les géniteurs ou ceux qui élèvent les enfants? «Aujourd'hui, nous biologisons la parenté à l'extrême, observe Suzanne Lallemand, anthropologue et chercheur au CNRS. Il est presque devenu honteux que d'autres, tels les parents adoptifs, élèvent le fruit de la procréation.» A une époque où on a du mal à trouver sa place, jamais on n'a eu autant besoin de se raccrocher à ses racines. Tandis que les clubs de généalogie amateurs se multiplient, les générations X n'ont personne à fixer sur les branches parentales. En effet, même si la France a ratifié l'article 7 de la Convention internationale des droits de l'enfant, qui prévoit que «tout enfant a, dans la mesure du possible, le droit de connaître ses parents», elle reste l'un des derniers pays à maintenir l'accouchement sous X, avec le Luxembourg, l'Italie et, dans une certaine mesure, l'Espagne (pour les femmes non mariées). La technique de fabrication du secret est bien rodée: l'anonymat est établi dès la prise en charge à l'hôpital, où la femme ne donne pas son identité. On déclare ensuite la naissance à l'état civil de mère et père inconnus. «Il est grand temps de lever l'anonymat! martèle Pierre Verdier, président de la Cadco. On connaît désormais les ravages affectifs que causent les secrets de famille sur plusieurs générations.». Que font les Pouvoirs Publics ?   Ils s'intéressent au problème et cherchent des solutions.
Ils sont des milliers, en France, à ignorer qui les a mis au monde. Nés sous X, comme le permet la loi, ils exigent de connaître l'identité de leur mère. Lever le secret serait-il un bien ou un mal? Le débat reste ouvert. Favorable à une relative levée du secret, la ministre déléguée à la Famille, Ségolène Royal, s'est récemment saisie du dossier. La garde des Sceaux, Elisabeth Guigou, tranchera la question, lors de la réforme du droit de la famille. Ségolène Royal cherche une solution qui permette, dit-elle, de «garder le droit à la discrétion tout en rendant réversible le choix du secret». Alors que le nombre d'accouchements sous X ne cesse de diminuer (de 778 en 1991 à 615 en 1997) le débat n'a jamais été aussi passionnel. Symbolique, il oppose le droit des mères à garder l'anonymat au droit des enfants à connaître leurs origines et relance la discussion sur la parentalité. Qui sont les vrais parents: les géniteurs ou ceux qui élèvent les enfants? «Aujourd'hui, nous biologisons la parenté à l'extrême, observe Suzanne Lallemand, anthropologue et chercheur au CNRS. Il est presque devenu honteux que d'autres, tels les parents adoptifs, élèvent le fruit de la procréation.» A une époque où on a du mal à trouver sa place, jamais on n'a eu autant besoin de se raccrocher à ses racines. Tandis que les clubs de généalogie amateurs se multiplient, les générations X n'ont personne à fixer sur les branches parentales. En effet, même si la France a ratifié l'article 7 de la Convention internationale des droits de l'enfant, qui prévoit que «tout enfant a, dans la mesure du possible, le droit de connaître ses parents», elle reste l'un des derniers pays à maintenir l'accouchement sous X, avec le Luxembourg, l'Italie et, dans une certaine mesure, l'Espagne (pour les femmes non mariées). La technique de fabrication du secret est bien rodée: l'anonymat est établi dès la prise en charge à l'hôpital, où la femme ne donne pas son identité. On déclare ensuite la naissance à l'état civil de mère et père inconnus. «Il est grand temps de lever l'anonymat! martèle Pierre Verdier, président de la Cadco. On connaît désormais les ravages affectifs que causent les secrets de famille sur plusieurs générations.». Que signifie « naître sous X » ?   Que l'on ne connaît ni son père, ni sa mère.
Ils sont des milliers, en France, à ignorer qui les a mis au monde. Nés sous X, comme le permet la loi, ils exigent de connaître l'identité de leur mère. Lever le secret serait-il un bien ou un mal? Le débat reste ouvert. Favorable à une relative levée du secret, la ministre déléguée à la Famille, Ségolène Royal, s'est récemment saisie du dossier. La garde des Sceaux, Elisabeth Guigou, tranchera la question, lors de la réforme du droit de la famille. Ségolène Royal cherche une solution qui permette, dit-elle, de «garder le droit à la discrétion tout en rendant réversible le choix du secret». Alors que le nombre d'accouchements sous X ne cesse de diminuer (de 778 en 1991 à 615 en 1997) le débat n'a jamais été aussi passionnel. Symbolique, il oppose le droit des mères à garder l'anonymat au droit des enfants à connaître leurs origines et relance la discussion sur la parentalité. Qui sont les vrais parents: les géniteurs ou ceux qui élèvent les enfants? «Aujourd'hui, nous biologisons la parenté à l'extrême, observe Suzanne Lallemand, anthropologue et chercheur au CNRS. Il est presque devenu honteux que d'autres, tels les parents adoptifs, élèvent le fruit de la procréation.» A une époque où on a du mal à trouver sa place, jamais on n'a eu autant besoin de se raccrocher à ses racines. Tandis que les clubs de généalogie amateurs se multiplient, les générations X n'ont personne à fixer sur les branches parentales. En effet, même si la France a ratifié l'article 7 de la Convention internationale des droits de l'enfant, qui prévoit que «tout enfant a, dans la mesure du possible, le droit de connaître ses parents», elle reste l'un des derniers pays à maintenir l'accouchement sous X, avec le Luxembourg, l'Italie et, dans une certaine mesure, l'Espagne (pour les femmes non mariées). La technique de fabrication du secret est bien rodée: l'anonymat est établi dès la prise en charge à l'hôpital, où la femme ne donne pas son identité. On déclare ensuite la naissance à l'état civil de mère et père inconnus. «Il est grand temps de lever l'anonymat! martèle Pierre Verdier, président de la Cadco. On connaît désormais les ravages affectifs que causent les secrets de famille sur plusieurs générations.». Quelle est la tendance, aujourd'hui, dans l'opinion publique ?   On favorise la filiation biologique.
Ils sont des milliers, en France, à ignorer qui les a mis au monde. Nés sous X, comme le permet la loi, ils exigent de connaître l'identité de leur mère. Lever le secret serait-il un bien ou un mal? Le débat reste ouvert. Favorable à une relative levée du secret, la ministre déléguée à la Famille, Ségolène Royal, s'est récemment saisie du dossier. La garde des Sceaux, Elisabeth Guigou, tranchera la question, lors de la réforme du droit de la famille. Ségolène Royal cherche une solution qui permette, dit-elle, de «garder le droit à la discrétion tout en rendant réversible le choix du secret». Alors que le nombre d'accouchements sous X ne cesse de diminuer (de 778 en 1991 à 615 en 1997) le débat n'a jamais été aussi passionnel. Symbolique, il oppose le droit des mères à garder l'anonymat au droit des enfants à connaître leurs origines et relance la discussion sur la parentalité. Qui sont les vrais parents: les géniteurs ou ceux qui élèvent les enfants? «Aujourd'hui, nous biologisons la parenté à l'extrême, observe Suzanne Lallemand, anthropologue et chercheur au CNRS. Il est presque devenu honteux que d'autres, tels les parents adoptifs, élèvent le fruit de la procréation.» A une époque où on a du mal à trouver sa place, jamais on n'a eu autant besoin de se raccrocher à ses racines. Tandis que les clubs de généalogie amateurs se multiplient, les générations X n'ont personne à fixer sur les branches parentales. En effet, même si la France a ratifié l'article 7 de la Convention internationale des droits de l'enfant, qui prévoit que «tout enfant a, dans la mesure du possible, le droit de connaître ses parents», elle reste l'un des derniers pays à maintenir l'accouchement sous X, avec le Luxembourg, l'Italie et, dans une certaine mesure, l'Espagne (pour les femmes non mariées). La technique de fabrication du secret est bien rodée: l'anonymat est établi dès la prise en charge à l'hôpital, où la femme ne donne pas son identité. On déclare ensuite la naissance à l'état civil de mère et père inconnus. «Il est grand temps de lever l'anonymat! martèle Pierre Verdier, président de la Cadco. On connaît désormais les ravages affectifs que causent les secrets de famille sur plusieurs générations.». Quelle est la situation de l'accouchement sous X en France ?   Il est très simple d'accoucher sous X.
Ils sont sortis sans que leurs parents ...   le sachent.
Ils travaillent avec un nouveau directeur .... ils se plaignent beaucoup.   Dont
Ils y a .... personnes qui travaillent dans cette société.   Trois cent deux
Imagine (faire nuit) quand tu décideras de sortir. Que feras-tu ?   qu'il fasse nuit